En soutien au fonds de prêts d’honneur de l’ESTIA, Julien Blanc a décidé de s’investir personnellement en faveur de l’amorçage de nouveaux projets entrepreneuriaux à l’ESTIA. En devenant mécène du projet de fonds de prêts d’honneur, Julien Blanc participe au comité d’engagement du fonds et s’engage à apporter toute son expertise auprès des porteurs de projets soutenus.
Pouvez-vous nous présenter votre parcours ?
Je suis né à Bayonne et je suis Gascon par mon Père et Ch'ti par ma Mère! Diplômé de l’ESCEM (Tours) et titulaire d'une Maîtrise en Droit Privé j'ai toujours eu la fibre entrepreneuriale par ma famille et mon tempérament. Après avoir exercé le métier de banquier auprès des entreprises chez Banque Populaire et BNP Paribas, j’ai géré et développé pendant 15 ans mon réseau d'agences immobilières dans les Landes. Je suis actuellement Gérant d’une Agence de Voyages à Bayonne. (Le Comptoir d'Ailleurs). J’exerce également des mandats de représentation dans plusieurs sociétés que j'accompagne.
J'ai toujours été investisseur dans l'économie régionale avec mon fonds d'investissement VASCONIE Capital.VASCONIE Capital est une SAS domiciliée à Biarritz. C'est un fonds d'investissement régional qui accompagne les jeunes entreprises et les projets innovants de Gascogne dans leur développement et projets de financement. La VASCONIE est l'ancien territoire des Vascons qui ne sont que les ancêtres des Basques et des Gascons! C'est mon secteur géographique d'intervention.
Bon vivant, très ancré dans la culture du Sud Ouest, j’aime les traditions régionales comme les Chasses traditionnelles, les corridas, les vins du Sud Ouest, de Bordeaux et les bons armagnacs. Golfeur et surfeur on peut aussi me voir de temps en temps surfer à la côte des Basques...
Comment avez-vous connu l’ESTIA ?
J'ai connu l'ESTIA par le réseau Adour Business Angel dont je fais partie et qui regroupe plus de 60 investisseurs attachés à la région et à ses entreprises.
Qu’est qui a motivé votre soutien au projet de fonds de prêt d’honneur initié par l’ESTIA ?
Il faut être courageux et savoir prendre des risques pour créer son entreprise. En phase d'amorçage le parcours du combattant que mènent les créateurs doit être facilité par ce type de financement. Les banques sont malheureusement trop frileuses pour ces dossiers.
Au-delà de votre don, que pensez-vous pouvoir apporter au projet ?
Je pense pouvoir apporter ma vision "aérienne" et ma capacité d’analyse ainsi que des conseils très pragmatique aux créateurs de part mes expériences personnelles dans ce domaine.
